Il semblerait qu'au Québec, un auteur jeunesse doive vendre 20 000 copies de son roman pour qu'il soit considéré comme un best-sellers contre 5000 «seulement» pour un roman grand public. Je serais bien curieuse de savoir combien d'auteurs remportent un tel succès...
4 commentaires:
de ce que j'en sais, si tu comptes les séries tome par tome, très peu d'auteurs... Même avec les offres de lancement et toute la pub du monde.
À part India Desjardins et l'auteur d'Amos d'aragon, je vois pas. 25000 c'est vraiment beaucoup. Pourquoi une telle différence avec le best-seller pour adultes ? C'est quand même 5 fois plus !
Ici, j'émets une hypothèse: Probablement que le coût souvent beaucoup moins élevé des livres jeunesse versus celui des livres grand public (moins cher = plus de chance d'acheter pour voir si on aime ça au lieu de l'emprunter dans une biblio par exemple)et le bassin de lecteurs immensément plus vaste (sans compter les achats des écoles)soient des éléments dont il faut tenir compte... Vous en pensez quoi???
Oui, effectivement, les livres jeunesse tournent autour de 15$ ce qui est quand même 10 dollars de moins en moyenne pour les romans adultes, ça joue forcément. Et les ados sont obligés de lire plusieurs titres par an à l'école et là le bouche à oreille doit jouer beaucoup.
Il reste que 25000 copies pour un best-seller, c'est énorme, 10000 à la limite ça aurait plus raisonnable. Mais peut-être que le nombre moyen de livres jeunesse vendus est plus haut que pour les romans adultes. Si c'est 4000 ou 5000 la moyenne, le 25000 semble dans ce cas plus logique. Mystère du monde de l'édition !
Pis, comment tu te sens sans tes cheveux ?
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