lundi 16 février 2009

Droit de prêt public

Peut-être suis-je dans le champ en pensant que plusieurs auteurs ne sont pas au courant de l'existence de la Commission du droit de prêt public. Si c'est le cas, tant mieux! Je suis relativement nouvelle dans le milieu, alors j'en ai encore beaucoup à apprendre. Pour les autres, j'explique brièvement ce que c'est.

La Commission du droit public est financé par le gouvernement fédéral, par le biais de Un avenir en arts et le Conseil des Arts du Canada. Du 15 février au 1er mai, les auteurs doivent s'inscrire, ainsi que chacun de leurs titres. La Commission réalise ensuite un échantillonnage dans les bibliothèques publiques et paie une redevance. Pour ma part, j'ai découvert deux jours en retard, l'an dernier, l'utilité de cet organisme. Résultat: 280$ de revenu en moins. Ce n'est pas une fortune, j'en conviens, mais ça se prend quand même bien. Je trouve que c'est un juste retour des choses puisque nous touchons très peu de droit d'auteurs pour les livres en bibliothèque, alors qu'ils sont lu par des centaines de personnes...
Pour ceux que ça intéresse: http://www.plr-dpp.ca/DPP/inscription/inscription_pour_nouveaux_auteurs.aspx

4 commentaires:

ClaudeL a dit…

Oui, je connais et il y a Copibec aussi: http://www.copibec.qc.ca/?action=pr_accueil

Aux deux ans je pense pour les auteurs. Accessible aussi aux artistes en arts visuels depuis 3-4 ans.

Toujours pas moyen d'enregistrer un commentaire sous un nom/URL???

Elisabeth a dit…

Oui, je suis également enregistrée chez Copibec. Merci! Pour ce qui est de l'enregistrement des commentaires, j'avoue ne pas m'y connaître assez pour vous répondre.

Evelyne a dit…

C'est vrai que ce ne sont pas tous les auteurs qui sont au courant. Pour ma part, je les préviens chaque année de l'existence du programme, comme pour Copibec. Cependant, les montants que l'on touche au DPP sont plus élevés que ceux de Copibec.

M a dit…

pour copibec, c'est payant pour les pigistes en revues, aux deux ans.