Je n'en ferai pas la critique, je ne suis pas très douée pour ça. Je vous dirai cependant que je l'ai lu d'une traite, sans m'arrêter. Et je me permettrai de comparer Madeleine Robitaille à Patrick Sénécal pour le côté dérangeant de l'histoire. Ce p'tit quelque chose qui nous fait penser que les individus profondément tordus que l'on croise au fil des pages pourraient être nos voisins... Quand j'ai ce sentiment qui perdure bien après que j'aie refermé le livre, ça veut tout dire...
3 commentaires:
Est-ce qu'on pourrait qualifier ce livre de roman d'horreur? J'hésitais à le répertorier dans ma liste de romans d'horreur québécois.
@Frédéric: Bienvenue chez moi! Ce n'est pas aussi «hard» que du Sénécal puisque l'horreur n'y est pas omniprésente, mais elle est définitivement là... et à un niveau plus dérangeant si on considère qu'ici - et c'était aussi le cas dans «Le quartier des oubliés»-, elle touche des enfants.
Merci Élisabeth! L'horreur n'a pas besoin d'être hard pour être. Une sensation de malaise et d'effroi, même légère et diffuse, est, à mon avis, suffisante pour rendre une oeuvre intéressante de ce point de vue. Je l'ajoute à ma liste dès que j'ai quelques minutes.
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